Je
ne cesserai de le répéter mais les échecs ont parfois du bon, et cela se
vérifie aussi en cuisine !
ne cesserai de le répéter mais les échecs ont parfois du bon, et cela se
vérifie aussi en cuisine !
Tout
a commencé après avoir lamentablement échoué dans la réalisation des macarons que
je réservais à une invitée de choix…
a commencé après avoir lamentablement échoué dans la réalisation des macarons que
je réservais à une invitée de choix…
Depuis
que je me suis mise à confectionner mes
coques sans meringue italienne et ce malgré le concours de mon fidèle
Kitchenaid, force est d’avouer que je vais d’échec en échec après un premier
succès que je considère désormais comme la fameuse chance du débutant… (Mercotte,
si tu passes par là, il va falloir qu’on parle !)
que je me suis mise à confectionner mes
coques sans meringue italienne et ce malgré le concours de mon fidèle
Kitchenaid, force est d’avouer que je vais d’échec en échec après un premier
succès que je considère désormais comme la fameuse chance du débutant… (Mercotte,
si tu passes par là, il va falloir qu’on parle !)
Et
alors que je ne pouvais décemment pas lui présenter un dessert qui n’était à la
hauteur ni de mes attentes, ni de nos palais, voilà comment je me suis
retrouvée en quête d’une douceur qui se marierait avec les maras des bois du
repas « locavore » que je lui avais concocté…
alors que je ne pouvais décemment pas lui présenter un dessert qui n’était à la
hauteur ni de mes attentes, ni de nos palais, voilà comment je me suis
retrouvée en quête d’une douceur qui se marierait avec les maras des bois du
repas « locavore » que je lui avais concocté…
C’est
ainsi qu’in extremis, je me suis lancée dans la confection d’une panna cotta
que je voulais placée sous le signe du basilic. Au final, une recette d’une
simplicité désarmante et d’un raffinement qui tenait la dragée haute au parfum
si subtil des maras des bois cueillies quelques jours plus tôt dans une ferme
voisine qui devaient accompagner cet entremet.
ainsi qu’in extremis, je me suis lancée dans la confection d’une panna cotta
que je voulais placée sous le signe du basilic. Au final, une recette d’une
simplicité désarmante et d’un raffinement qui tenait la dragée haute au parfum
si subtil des maras des bois cueillies quelques jours plus tôt dans une ferme
voisine qui devaient accompagner cet entremet.
Il
me semble ne vous avoir proposé qu’une seule panna cotta sur ce site (clique), et
pourtant, j’avoue que c’est un dessert que je confectionne régulièrement, rapide à
réaliser et facile à s’approprier puisque l’association choisie et le parfum
utilisé en font à chaque fois un dessert différent !
me semble ne vous avoir proposé qu’une seule panna cotta sur ce site (clique), et
pourtant, j’avoue que c’est un dessert que je confectionne régulièrement, rapide à
réaliser et facile à s’approprier puisque l’association choisie et le parfum
utilisé en font à chaque fois un dessert différent !
Ma
référence en la matière, si l’on part du
principe que je ne dispose pas comme certaines, dont je ne citerai pas le nom ici, (…mais nous nous sommes compris, hein ?!) d’une culture innée de la
gastronomie italienne est un petit livre paru aux Editions Marabout en
septembre 2008 (oui, je sais ça date, mais que voulez-vous, quand un livre est
fiable peu importe finalement la date de parution !) :
référence en la matière, si l’on part du
principe que je ne dispose pas comme certaines, dont je ne citerai pas le nom ici, (…mais nous nous sommes compris, hein ?!) d’une culture innée de la
gastronomie italienne est un petit livre paru aux Editions Marabout en
septembre 2008 (oui, je sais ça date, mais que voulez-vous, quand un livre est
fiable peu importe finalement la date de parution !) :
« Panna Cotta » de Laura Zavan
Ce
que j’apprécie particulièrement dans ledit livre ce sont les conseils très
précis que nous délivre Laura Zavan, un peu comme des règles d’or, des bases,
infaillibles, qui ont fait leurs preuves et qui vont me permettre de maîtriser
le sujet pour mieux m’en éloigner et laisser ainsi libre cours à mon
imagination gustative…
que j’apprécie particulièrement dans ledit livre ce sont les conseils très
précis que nous délivre Laura Zavan, un peu comme des règles d’or, des bases,
infaillibles, qui ont fait leurs preuves et qui vont me permettre de maîtriser
le sujet pour mieux m’en éloigner et laisser ainsi libre cours à mon
imagination gustative…
Ainsi
avant de se lancer dans une valse de panna cotta, en versions sucrées comme en versions salés, elle nous délivre
quelques principes de base, essentiels à la réussite d’une panna cotta. Aussi
s’attarde-t-elle sur le choix des crèmes, des gélifiants et des arômes mais
aussi des techniques en matières de moulage et démoulage.
avant de se lancer dans une valse de panna cotta, en versions sucrées comme en versions salés, elle nous délivre
quelques principes de base, essentiels à la réussite d’une panna cotta. Aussi
s’attarde-t-elle sur le choix des crèmes, des gélifiants et des arômes mais
aussi des techniques en matières de moulage et démoulage.
…Et
si l’on considère que les trois livres sur la cuisine italienne dont je dispose dans cette même
collection (« Panna cotta », « Risotto » et « Pizza »)
sont écrits par la même auteure, le constat est clair : la fiabilité
s’impose !
si l’on considère que les trois livres sur la cuisine italienne dont je dispose dans cette même
collection (« Panna cotta », « Risotto » et « Pizza »)
sont écrits par la même auteure, le constat est clair : la fiabilité
s’impose !
Panna
cotta au basilic
cotta au basilic

Ingrédients
pour 6 ramequins
pour 6 ramequins
50cl
de crème liquide entière à 35% de matière grasse
de crème liquide entière à 35% de matière grasse
50g
de sucre
de sucre
1
bouquet de basilic frais
bouquet de basilic frais
4g
de gélatine
de gélatine
Faites
tremper vos feuilles de gélatine dans de l’eau froide. Portez votre crème à ébullition avec le
sucre. Hors du feu, ajoutez vos feuilles de basilic. Recouvrez et laissez
infuser 10 à 15mn. Mixez le mélange dans votre blender ou à l’aide d’un mixer
plongeant. Pour une crème à l’esthétique parfaite, passez le mélange au
chinois. Réchauffez votre crème et rajoutez la gélatine essorée. Versez dans
les contenants et laissez refroidir le mélange dans votre réfrigérateur au
moins 2 heures pour le mélange se fige.
tremper vos feuilles de gélatine dans de l’eau froide. Portez votre crème à ébullition avec le
sucre. Hors du feu, ajoutez vos feuilles de basilic. Recouvrez et laissez
infuser 10 à 15mn. Mixez le mélange dans votre blender ou à l’aide d’un mixer
plongeant. Pour une crème à l’esthétique parfaite, passez le mélange au
chinois. Réchauffez votre crème et rajoutez la gélatine essorée. Versez dans
les contenants et laissez refroidir le mélange dans votre réfrigérateur au
moins 2 heures pour le mélange se fige.
Une pana cotta au basilic alors là tu me scotches…. quelle bonne idée géniale mais quand tu me dis que c'est pour accompagner avec des maras des bois, je me dis que tu es frappée de bénédiction divine !
Parfois il n'y a rien de meilleur que de la simplicité et du sentiment!
Ces panna cotta m'ont l'air délicieuse!
Et comme vous dites avec une salade de fraises… Mhh Voire une salade de fraises au vinaigre balsamique, n'est-ce pas?
j'aime le basilic version sucrée. Bonne idée toute simple mais très pafumée !
Une très bonne idée que voilà. Avec quelques fraises gariguettes en plus, encore meilleur à mon avis 🙂 Merci pour le partage!!